Top 3 - Qu'attend une entreprise de son avocat ?
Une étude réalisée par Odoxa pour le cabinet Gide et le Cercle Montesquieu retient aujourd'hui l'attention de notre cabinet d'avocats en droit commercial à Orléans. Elle porte sur la relation entre une entreprise et son conseil. Nous vous exposons les conclusions de cette étude qui correspondent aux valeurs que nous développons avec nos clients.
L'étude
Afin de mieux cerner les attentes des entreprises d'aujourd'hui, l'étude a interrogé principalement des Directeurs ou Responsables Juridiques. Les résultats sont disponibles sur le site du Cercle Montesquieu. Laure Lavorel, Présidente du Cercle Montesquieu, explique que : "pour la première fois, une étude s’intéresse aux relations entre cabinets d’avocats et directions juridiques, relations qui ont profondément évolué ces dix dernières années". Notre cabinet d'avocats en droit commercial à Orléans confirme cette évolution.
1 - Une relation de confiance
La profession d'avocat peut impressionner. Quand on fait appel à l’un d’eux c'est qu'il y a ou qu'il peut y avoir un problème auquel il faut faire face. Dans ce cadre, la relation de confiance est primordiale ! C'est d'ailleurs le critère N°1 dans le choix d'un avocat (67%). Et pour construire cette dite relation au quotidien, il est important pour une entreprise que son avocat fasse preuve d'une bonne écoute et de disponibilité (62%). Enfin, pas question de devoir à chaque contact réexpliquer la situation, une entreprise veut avoir le même interlocuteur (38%).
Au sein de notre cabinet, votre dossier sera suivi par un seul et même interlocuteur : l’un des deux associés et personne d’autre.
2 - De la transparence
Les répondants font aussi part de leur besoin de plus de communication. En effet :
- 58 % jugent que la facturation manque de transparence.
- 40% ont rencontré des problèmes de facturation liés à un dépassement de budget.
Ces manques pourraient d'ailleurs être un motif de rupture de relation.
Au sein du cabinet, les honoraires sont fixés dès le premier rendez-vous et consignés dans une convention d’honoraires signée.
Toujours dans cet esprit d'échange, 59% des entreprises interrogées "seraient prêtes à payer des formations juridiques spécifiques".
3 - Connaissance de l'entreprise
Selon Laure Lavorel : "Les directions juridiques attendent de plus en plus de leurs conseils une analyse stratégique au plus près des besoins de l’entreprise". Comme le précise l'infographie ci-contre, un avocat doit être désormais à la fois "technicien et conseil".
Si un avocat doit comprendre les mécanismes de l'entreprise à 41% et avoir une bonne connaissance du secteur d'activité à 33%... L'entreprise attend surtout de lui "des conseils en plus de l'analyse juridique" à 79 %. Mais aussi à 75% de la "proactivité sur les enjeux juridiques" de l'entreprise qu'il accompagne.
Au fait, est-il nécessaire de se faire accompagner par un avocat pour vos démarches ? Notre cabinet d'avocats en droit commercial à Orléans vous expose prochainement les risques auxquels vous vous exposez dans le cas contraire.